Zoom sur...
La cartographie des risques :
une démarche pour optimiser la performance
Depuis le début de l’année, le CCCA-BTP s’est engagé dans un plan d’action visant à sécuriser les zones à risques identifiées en interne ou liés à notre environnement, afin d’améliorer la performance globale au sein du CCCA-BTP.
Ce projet, piloté par la DFEPSI, s’appuie sur la démarche qualité déjà engagée et la mise en place d’une mission de contrôle interne, qui vise à sécuriser l’atteinte des objectifs du CCCA-BTP. La mission de sécurisation des risques comprend plusieurs étapes :
1 – établir une cartographie des risques ;
2 – identifier des plans d’action à mettre en œuvre afin de couvrir les zones à risques identifiées ;
3 – instaurer des points de vigilance dans une optique d’optimisation de la performance interne.
Tout d’abord, il convient d’identifier le portefeuille des risques du CCCA-BTP, puis d’en évaluer l’impact s’ils surviennent et, enfin, d’en mesurer le degré de maîtrise. Ces risques peuvent concerner différents domaines :
• juridique (évolution de la réglementation, conventions, contrats, contentieux…) ;
• ressources humaines (évolutions des postes et des missions…) ;
• communication (spécificités des prestations réalisées…) ;
• marketing (qualification des marchés…) ;
• opérationnel (sécurité des bâtiments…) ;
• systèmes d’information (exploitation malveillante de données…) ;
• stratégique (développement de la nouvelle offre de services du CCCA-BTP…) ;
• financier (sécurisation des procédures de financement…).
La cartographie des risques, un outil de pilotage
La cartographie est un outil de pilotage qui permet de synthétiser et de visualiser les risques encourus à une certaine date. Elle doit être actualisée régulièrement. Chaque risque est identifié, en fonction de sa gravité (son impact en cas de survenance du risque) et en fonction du degré de maîtrise déjà existant (développement d’outil permettant de maitriser le risque).
La cartographie est partagée en quatre zones :
• zone à sécuriser : risques critiques perçus comme faiblement maîtrisés ;
• zone à piloter : risques critiques perçus comme bien maîtrisés ;
• zone de structuration : risques de faible importance perçus comme moyennement maîtrisés ;
• zone de tolérance : risques de faible importance perçus comme bien maîtrisés.
Une note d’information est présentée au conseil d’administration du 29 juin, avec une décision de validation de la feuille de route sur les risques majeurs identifiés dans le cadre de cette démarche.
>> Vous avez des questions ? Contactez Delphine Plumet