Euroskills 2021 : gros plan sur les épreuves de couverture métallique

Euroskills 2021 : gros plan sur les épreuves de couverture métallique

Les compétiteurs doivent réaliser en aluminium la couverture de la Tour de l’Horloge, symbole de la ville de Graz, située sur la colline du Schlossberg. Les candidats connaissaient 80 % du sujet.

Sur les toits autrichiens

L’épreuve est constituée de trois modules: réalisation d’une pénétration, qui est l’intersection d’un pan de toiture avec une structure saillante, représentée ici par la tour. Le travail est complété par le façonnage et la pose d’une besace, en arrière de la Tour, pour évacuer les eaux pluviales. Le deuxième module est consacré à l’habillage de la tour. Les compétiteurs finissent par la réalisation d’une noue, constituée par l’intersection de deux versants d’une toiture, formant un angle rentrant.

« Le pliage, la prise de cote, avec une marge d’erreur de deux millimètres, et l’assemblage sont les points les plus techniques. Donovan est très serein, il a terminé sa première journée avec presque une heure d’avance. Il a pu préparer le deuxième module, prendre les cotes et façonner. Ce qu’il a fait aujourd’hui est parfait à l’œil. C’est la prise de cote qui va faire la différence », explique Frédéric Rimbault, formateur de Donovan à BTP CFA Sarthe (Le Mans).

« La première journée était déterminante pour moi. C’est celle qui mène la danse ! Je suis content de ce que j’ai fait. Après, on est toujours déçu par des petites rayures, des petites imprécisions. C’est celui qui fera le moins d’erreur qui remportera la médaille d’or. La maquette est très jolie à faire et nous travaillons avec ce qui se fait de mieux. Je ne connais pas meilleure machine de pliage que celle que nous utilisons et nous façonnons des plaques en aluminium fabriquées en Autriche. Je pensais être beaucoup plus stressé. En fait, je prends énormément de plaisir. C’est tellement exceptionnel d’être là avec l’ambiance, le public… j’ai la banane ! », explique Donovan Lefeuvre.

L’épreuve est constituée de trois modules : réalisation d’une pénétration, qui est l’intersection d’un pan de toiture avec une structure saillante, représentée ici par la tour. Le travail est complété par le façonnage et la pose d’une besace, en arrière de la Tour, pour évacuer les eaux pluviales. Le deuxième module est consacré à l’habillage de la tour. Les compétiteurs finissent par la réalisation d’une noue, constituée par l’intersection de deux versants d’une toiture, formant un angle rentrant.

« Le pliage, la prise de cote, avec une marge d’erreur de deux millimètres, et l’assemblage sont les points les plus techniques. Donovan est très serein, il a terminé sa première journée avec presque une heure d’avance. Il a pu préparer le deuxième module, prendre les cotes et façonner. Ce qu’il a fait aujourd’hui est parfait à l’œil. C’est la prise de cote qui va faire la différence », explique Frédéric Rimbault, formateur de Donovan à BTP CFA Sarthe (Le Mans).

 

 

 

 

« La première journée était déterminante pour moi. C’est celle qui mène la danse ! Je suis content de ce que j’ai fait. Après, on est toujours déçu par des petites rayures, des petites imprécisions. C’est celui qui fera le moins d’erreur qui remportera la médaille d’or. La maquette est très jolie à faire et nous travaillons avec ce qui se fait de mieux. Je ne connais pas meilleure machine de pliage que celle que nous utilisons et nous façonnons des plaques en aluminium fabriquées en Autriche. Je pensais être beaucoup plus stressé. En fait, je prends énormément de plaisir. C’est tellement exceptionnel d’être là avec l’ambiance, le public… j’ai la banane ! », explique Donovan Lefeuvre.